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ITALIE : LE PAYS VA TESTER LES VOYAGEURS REVENANT DE GRECE, D'ESPAGNE, DE MALTE ET DE CROATIE PO

La Russie pense qu’une guerre entre les États-Unis et l’Iran se profile à l’horizon et propose des mesures pour y mettre fin :

Le président russe Vladimir Poutine a proposé vendredi un sommet vidéo avec les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Chine, l’Allemagne et l’Iran afin d’éviter « l’affrontement et l’escalade des tensions » aux Nations unies, où Washington tente de prolonger l’embargo sur les armes à Téhéran, a rapporté Reuters.

Mais il est difficile de savoir ce qui pourrait être fait à ce stade. Non seulement l’administration Trump a annulé l’accord nucléaire de Vienne de 2015 (JCPOA), mais des faucons de guerre de longue date comme Pompeo ont cherché à intensifier les sanctions à chaque fois.

La situation est dans l’impasse, Téhéran exigeant un assouplissement des sanctions ou un abandon total comme condition à de nouvelles discussions, mais la Maison Blanche dit alternativement que l’Iran doit d’abord abandonner tout développement lié à l’énergie nucléaire (qui, selon les Etats-Unis, est en fait pour les armes nucléaires) et son programme de missiles balistiques. Mais si l’on en croit le sort de Kadhafi (qui a abandonné son programme d’ADM au début des années 2000 et a été « ramené du froid » comme on dit – pour être ensuite renversé par une intervention militaire US-OTAN et sommairement exécuté dans la rue des années plus tard), le point de vue de Téhéran est que tout « accord » avec les États-Unis est impossible.

« La question est urgente », a déclaré M. Poutine à propos de son plan dans les commentaires de vendredi. Il a expliqué que l’alternative reste « seulement une nouvelle escalade des tensions, un risque croissant de conflit – un tel scénario doit être évité ».

Des missiles balistiques iraniens, via Iran Focus

Interrogé sur la proposition de M. Poutine et sur un point de presse tenu vendredi, le président Trump a répondu « J’ai entendu dire qu’il y a quelque chose, mais on ne me l’a pas encore dit. »

Cependant, étant donné que l’Iran considère essentiellement les États-Unis comme en état de guerre avec la République islamique – surtout compte tenu de l’assassinat en janvier du chef de la Force al-Qods du CGRI, Qassem Soleimani, il sera probablement moins qu’optimiste quant à la réussite de toute réunion de cessation de conflits à l’ONU.

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