(HCQ) L’HYDROXYCHLOROQUINE DEVRAIT ETRE DISPONIBLE EN VENTE LIBRE
Le président Trump devrait ordonner un accès public immédiat à l’hydroxychloroquine (HCQ) en rendant le médicament disponible en vente libre (‘over the counter’ = OTC).
Les libéraux ont entravé l’accès du public à ce médicament pour le COVID-19 par la voie classique qui consiste à exiger une ordonnance et à faire exécuter ou rejeter l’ordonnance par un pharmacien.Des millions d’Américains ne consultent pas de médecins et ne peuvent pas obtenir d’ordonnance pour l’HCQ s’ils le souhaitaient. Même si vous avez été exposé au COVID-19, vous ne pouvez pas obtenir d’ordonnance pour l’HCQ dans la plupart des États car les autorités réglementaires interdisent de la délivrer sans un résultat de test positif, qui ne peut généralement être obtenu que tard dans la progression de la maladie. Personne ne doute de façon crédible que l’HCQ est sûre, et plus sûre que de nombreux médicaments actuellement disponibles en vente libre. Personne ne doute de façon crédible des dizaines d’études montrant que l’utilisation précoce de l’HCQ, avant et immédiatement après avoir été exposé au COVID, a aidé beaucoup de personnes à surmonter cette maladie redoutable.
Les Américains n’ont pas besoin d’une ordonnance pour obtenir des centaines de médicaments qui nécessitaient autrefois une prescription. Nexium, Prevacid, Prilosec, Claritin, Flonase, et Primatene Mist sont des médicaments qui ont été transférés de la prescription à la vente libre ces dernières années, non pas parce que l’establishment médical a poussé à ce changement, mais à cause de la demande du public.
Aucune demande n’est plus importante à l’heure actuelle que celle d’un médicament qui aide à prévenir le COVID. Pourtant, les Américains ne sont pas autorisés à avoir accès aux médicaments qu’ils veulent et dont ils ont besoin, et se font dire par la FDA et les fonctionnaires de l’État qu’ils ne peuvent pas les avoir. Le mois dernier, le conseil des pharmacies de l’Oregon, par exemple, a bloqué l’accès à l’HCQ de la manière suivante :
« Les ordonnances prescrivant de la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine pour la prévention ou le traitement de l’infection du COVID-19 ne peuvent être délivrées que si elles sont rédigées pour un patient inscrit à un essai clinique par un chercheur autorisé ».
Ils ont fondé leur interdiction sur une déclaration inappropriée de la FDA, qui est contrôlée par les opposants à la réélection de M. Trump. Bien sûr, de nombreux fonctionnaires du gouvernement de l’Oregon sont également contre Trump. Chaque conseil d’administration de la pharmacie ou de la médecine est contrôlé par des fonctionnaires de gauche qui, dans l’ensemble, méprisent le président Trump et espèrent qu’il perdra en novembre. Ils réalisent leur rêve en supprimant l’accès du public à l’HCQ. Dans d’autres pays, tels que le Costa Rica et le Honduras, l’HCQ est donnée gratuitement au public pour y vaincre le coronavirus. Dans certains pays, les fonctionnaires font même du porte-à-porte pour distribuer l’HCQ afin de renforcer la protection contre le virus, avec un grand succès.
Le taux de mortalité dû au COVID-19 aux États-Unis est bien plus élevé par cas, et par million d’habitants, malgré le fait que nous ayons le meilleur système hospitalier au monde. Cependant, nous n’avons pas actuellement d’accès public à l’HCQ pour nous protéger contre la maladie, et c’est ce dont nous avons besoin pour le moment. Un décret du président Trump, utilisant toute son autorité en matière d’urgence, pourrait donner aux Américains les mêmes droits à l’HCQ pour traiter le COVID dont bénéficient certaines des personnes les plus pauvres du monde. Trump pourrait même distribuer l’HCQ lors de ses rassemblements, ce qui permettrait de rétablir leur nombre massif et de contribuer à la protection contre la propagation du virus.
Mais l’establishment médical, tel que le Dr John Fleming qui conseille le chef de cabinet de Trump, Mark Meadows, fait obstacle à cette solution à la crise. En tant que médecin, le Dr Fleming est instinctivement formé pour s’opposer au statut de médicament en vente libre pour la plupart des médicaments, et il est redevable à l’état d’esprit d’exiger que les gens consultent d’abord un médecin. Les Américains sont habitués à ce qu’on leur conseille de consulter un médecin avant de commencer un régime d’amaigrissement, un avocat avant de rédiger un testament et un comptable avant de remplir une déclaration d’impôts. Dans des situations idéales, recommander le recours à un professionnel n’est pas controversé.
En revanche, en cas de crise, la dynamique est différente. Lorsque des milliers de personnes meurent inutilement et que des millions sont paralysées par la peur, le fait de soulager directement cette mortalité et cette peur devient primordial.
Il n’y a aucune raison valable de refuser au public l’accès à des doses faibles d’HCQ, qui, selon les études, peuvent protéger contre le COVID, tout comme il n’y a aucune raison légitime d’exiger une ordonnance pour une crème stéroïde à faible dose (cortisone) et de nombreux autres médicaments en vente libre. La motivation politique pour bloquer l’accès à l’HCQ justifie de la rendre accessible au public.
Il ne s’agit pas d’une décision à prendre par Anthony Fauci ou par l’establishment médical ou la FDA lors d’une crise nationale. C’est au président Trump d’en décider et de rendre l’HCQ rapidement accessible au public.
Si un intrus est découvert dans sa maison au milieu de la nuit, aucun père responsable n’essaie d’abord d’appeler un expert pour obtenir un avis sur ce qu’il faut faire. Au lieu de cela, des mesures rapides et décisives sont prises, et cela signifie que l’HCQ doit obtenir le statut OTC pour vaincre le COVID.