LES NATIONS UNIES ONT PUBLIE UNE DECLARATION REPRIMANDANT LA TENTATIVE DE LA MAISON BLANCHE D’IMPOSE
- Par Correspondance
- 21 juin 2020
- 2 min de lecture
Lors de la publication d’une déclaration des Nations Unies vendredi, l’expert anti-terroriste Max Abrahms a d’abord pensé que c’était une blague, mais non, ce n’est pas Le Gorafi :

Le bureau des Nations unies à Genève a cité des experts non nommés associés à son Conseil des droits de l’homme pour exprimer « sa profonde inquiétude face à une récente déclaration du procureur général des États-Unis décrivant [Antifa] et d’autres militants antifascistes comme des terroristes domestiques, affirmant qu’ils sapent les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique dans le pays ».
Et ce, même après que l’incertitude et le débat sur qui ou quoi est réellement le groupe se soient répandus. Il serait peut-être plus approprié de considérer Antifa comme un mouvement peu défini, épousant l’idéologie radicale de gauche. Mais la nouvelle déclaration de l’ONU semble soutenir positivement Antifa, puisqu’elle affirme clairement qu’il est composé de simples « militants antifascistes ».
Le tweet et la déclaration inhabituels des Nations unies ont été largement tournés en dérision par les médias sociaux conservateurs, par exemple avec le tweet du journaliste d’OAN Jack Posobiec : « Les Nations Unies couvrent un groupe extrémiste international qui a mené de violentes attaques insurrectionnelles à travers l’Amérique du Nord et l’Europe ».
Il a également déclaré, avec ironie : « Antifa n’existe pas et l’ONU vient de les approuver. »
Et un certain nombre d’autres ont appelé à « couper les fonds à l’ONU ».
Mais surtout, le secrétaire d’État Mike Pompeo a pris à partie le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, dénonçant l' »hypocrisie » de cet organe qui fait la leçon à Washington sur les questions raciales tout en étant « un refuge pour les dictateurs et les démocraties qui s’y livrent ».
« Si le Conseil était honnête, il reconnaîtrait les forces de la démocratie américaine et exhorterait les régimes autoritaires du monde entier à modeler la démocratie américaine et à exiger de leurs nations les mêmes normes élevées de responsabilité et de transparence que celles que nous, Américains, nous appliquons à nous-mêmes », a ajouté M. Pompeo.







Commentaires